À la lumière de son évaluation, l’AETMIS conclut que l’insuffisance de données probantes ne permet pas de bâtir un argumentaire solide quant à l’efficacité de l’oxygénothérapie hyperbare dans la prise en charge des troubles autistiques. Dans ces circonstances, une veille documentaire s’impose pour évaluer les résultats des recherches en cours et futures.
Depuis la construction des premiers caissons hyperbares il y a plus de deux siècles, le recours thérapeutique à l’oxygénothérapie hyperbare (OHB) s’est graduellement élargi à plusieurs maladies et affections. Cet élargissement découle notamment des progrès dans les connaissances issues de la médecine de plongée et de la recherche fondamentale. À l’heure actuelle, 13 indications sont reconnues par l’Undersea and Hyperbaric Medical Society (UHMS), une société savante internationale regroupant plus de 2 500 membres répartis dans une cinquantaine de pays. On retrouve habituellement ces indications dans la liste de services assurés d’organismes publics et privés. Au fi l des années, plusieurs chercheurs ont continué à explorer le potentiel thérapeutique de l’OHB pour un nombre croissant d’autres affections, sans toutefois que la preuve scientifique de son efficacité a .........................
Depuis la construction des premiers caissons hyperbares il y a plus de deux siècles, le recours thérapeutique à l’oxygénothérapie hyperbare (OHB) s’est graduellement élargi à plusieurs maladies et affections. Cet élargissement découle notamment des progrès dans les connaissances issues de la médecine de plongée et de la recherche fondamentale. À l’heure actuelle, 13 indications sont reconnues par l’Undersea and Hyperbaric Medical Society (UHMS), une société savante internationale regroupant plus de 2 500 membres répartis dans une cinquantaine de pays. On retrouve habituellement ces indications dans la liste de services assurés d’organismes publics et privés. Au fi l des années, plusieurs chercheurs ont continué à explorer le potentiel thérapeutique de l’OHB pour un nombre croissant d’autres affections, sans toutefois que la preuve scientifique de son efficacité a .........................